giovedì 30 gennaio 2020

Unis en Europe...in Spagna

Erasmus plus KA2 Unis en Europe…a Valencia, in Spagna 

Una nuova avventura, dal 18 al 25 gennaio 2020, ha coinvolto tre ragazzi della classe V AT e due ragazze della IV AT del corso Esabac Techno, le due docenti accompagnatrici, Vincenza Giamporcaro e Carmela Lupo, e i partner degli altri cinque Paesi del progetto, Irlanda, Portogallo, Spagna, Polonia e Germania.



Anche questa, come le altre, è stata un’esperienza entusiasmante: il calore delle famiglie, la simpatia e l’esuberanza dei compagni spagnoli e del personale docente della scuola IES Music Martin i Soler, la diversità che caratterizzava i diversi gruppi hanno contribuito a rendere speciale questa settimana, nonostante la tempesta “Gloria” abbia cercato di rallentare o modificare quanto previsto dal programma.
La pioggia incessante e il freddo dei primi giorni, inusuali per una città mediterranea come Valencia, infatti, non hanno minimamente raffreddato l’entusiasmo dei partecipanti all’incontro e la nostra voglia di scoprire una cultura, una città e un territorio sicuramente ricchi di storia, cultura e tradizioni.




Il programma proposto ha alternato momenti di lavoro a scuola all’interno di gruppi internazionali, visite guidate, laboratori e momenti conviviali. Durante le attività svolte a scuola, ancora una volta, è stato bellissimo vedere collaborare ragazzi e docenti di diverse nazionalità per la realizzazione dei tanti prodotti previsti dal progetto: mostra su personaggi che hanno ottenuto il premio Sacharov, uno spettacolo sul tema “Libertà”, materiali digitali e multimediali per il completamento dell’ebook sull’U.E. che si costruisce ad ogni tappa internazionale,  un canale radio con podcast contenente gli articoli della Carta dei Diritti fondamentali in Europa, un reportage fotografico e un video illustranti i momenti salienti della settimana. 



Naturalmente notevole è stato l’impegno per superare le inevitabili difficoltà linguistiche e, oltre al francese, lingua ufficiale del progetto, studenti e docenti hanno utilizzato anche la lingua inglese e quella spagnola, sperimentando sul campo l’importanza del plurilinguismo.
La serata finale, durante la quale sono stati presentati i lavori della settimana e che ha previsto anche una cena tipica offerta dalla scuola spagnola, è stata la degna conclusione di un incontro all’insegna della simpatia, dell’accoglienza e dell’amicizia.
Alla fine dell’esperienza è possibile affermare che anche questo gruppo di “ambasciatori” ha conseguito alcuni tra gli obiettivi principali del progetto: tutti hanno potenziato competenze linguistiche e digitali, hanno sviluppato competenze relazionali, sociali, interculturali, hanno sviluppato capacità di integrazione e adattamento in un contesto diverso dal nostro, hanno manifestato curiosità e voglia di aprirsi ad altre culture.
Anche questo gruppo avrà il compito di raccontare quello che ha avuto modo di vivere, scoprire e ammirare durante il soggiorno in Spagna, affinché la nostra comunità scolastica possa sentirsi coinvolta nell’esperienza.


Alunni partecipanti: Chiara Bruno, Cristina Purpi, Michele Scardina, Rosamaria Trapani, Roberta Treppiedi

Docenti accompagnatrici: Enza Giamporcaro, Monica Lupo




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mercoledì 15 gennaio 2020

Les travaux à réaliser avant la rencontre en Espagne

Les activités à faire dans chaque pays avant la rencontre en Espagne sont proposées à partir du thème de travail qui est  LA CHARTE DES VALEURS EUROPÉENNES →Chaque pays choisit une Valeur qu´on devra travailler au collège avant la rencontre.→Les six valeurs sont: DIGNITÉ, JUSTICE, LIBERTÉ, ÉGALITÉ, CITOYENNETÉ ET SOLIDARITÉ. →Les six valeurs sont: DIGNITÉ, JUSTICE, LIBERTÉ, ÉGALITÉ, CITOYENNETÉ ET SOLIDARITÉ.L'équipe italienne choisit de travailler sur la valeur "Justice" et réalise une vidéo






Il faut, en outre, préparer le matériel pour réaliser une expo, dans l'école partenaire espagnole, sur des personnages ayant reçu le prix Sacharov. 

A ce propos, l'équipe italienne décide de travailler sur Malala Yousafzai et sur les « Damas de Blanco » 




Malala Yousafzai, jeune militante pakistanaise, a remporté le prix Sakharov en 2013, à l’âge de 15 ans. Elle avait défendu courageusement le droit de tous les enfants à une éducation égale. Ce droit est trop souvent négligé lorsqu’il s’agit de filles. En effet, au Pakistan, le régime taliban avait interdit aux filles d’aller à l’école.Après la fermeture, en janvier 2009, de toutes les écoles de filles, sous le contrôle des talibans, Malala a commencé à rédiger un blog pour la section ourdoue de la BBC, sous le pseudonyme de Gul Makai, une héroïne d'un conte traditionnel. Le blog a fait connaître Malala et son combat. Dès que son identité a été révélée, sa famille a reçu des menaces, menant à une tentative d'assassinat à l'encontre de la jeune fille en octobre 2012. Malala se trouvait dans son bus scolaire lorsqu'un taliban armé l'a touchée par balle au cou et à la tête."Nos livres et nos stylos sont nos armes les plus puissantes. Un enseignant, un livre, un stylo, peuvent changer le monde". La jeune Malala Yousafzaï se retrouvait devant des centaines de jeunes venus du monde entier, à l'ONU, quand elle a prononcé ces mots.

Inspirée par Martin Luther King et Nelson Mandela, disait-elle, elle expliquait que "les extrémistes ont peur des livres et des stylos".Vêtue du foulard de Benazir Bhutto, ancien Premier ministre du Pakistan tuée dans un attentat le 27 décembre 2007, Malala s'était montrée exempte de tout sentiment de revanche contre ses agresseurs. Elle avait même dit qu'elle souhaitait que leurs filles aillent à l'école. "Les talibans ont pensé que la balle qui m'a touchée nous pousserait à nous taire, mais ils ont eu tort. Au lieu du silence, une clameur s'est élevée. Ils ont pensé changer mes objectifs et mes ambitions, mais une seule chose a changé: la faiblesse, la peur et le désespoir ont disparu et le courage et le pouvoir sont nés. Je suis la même Malala. Mes ambitions, mes rêves et mes espoirs sont les mêmes".Grâce à Malala, le 11 octobre est devenu la Journée Internationale de l’enfant et de la jeune fille. Son exemple nous rappelle nos devoirs et notre responsabilité pour le droit des enfants à l’éducation.




« Damas de Blanco » est un mouvement d'opposition cubain fondé en 2003 par les épouses et femmes proches des dissidents emprisonnés par le régime cubain.
Les Dames en blanc se sont organisées après l'arrestation de 75 dissidents lors du printemps noir cubain. Ce sont des femmes proches des Cubains arrêtés et déclarés prisonniers d’opinion par Amnesty International.
Ce mouvement d’opposition a remporté le prix Sakharov en 2005. Ces femmes manifestaient pour demander la libération de leurs proches en assistant à la messe chaque dimanche vêtues de blanc, pour symboliser la paix, et en marchant silencieusement dans les rues.
 En 2013, après huit ans, les Damas en Blanco ont retiré personnellement à Bruxelles le prix Sakharov qui leur avait été décerné en 2005, mais qu’elles  n’avaient pas pu retirer en raison de l’absence de permis de voyage de la part du gouvernement de La Havane.
Pour les membres de l'association : « Ce prix est un bouclier qui protège notre combat pacifique, et nous voulons en remercier le Parlement européen. Nous avons commencé à nous battre pour la liberté de 75 hommes, puis pour celle de tous les prisonniers politiques et pour les droits de l'homme. »
En 2009, Amnesty International mentionne l'intervention des autorités cubaines pour empêcher les membres des Dames en blanc de manifester pacifiquement
Les Damas de Blanco et leurs proches sont régulièrement victimes de nombreuses exactions perpétrées par les forces de l'ordre à cause de leur activisme en faveur des prisonniers de conscience. Le 29 mai 2016, 75 membres de Damas de Blanco ont été arrêtées alors qu'elles étaient en chemin pour l'habituelle messe du dimanche où elles voulaient réclamer la libération des prisonniers politiques; sept autres personnes, dont Leticia Ramos, ont été arrêtées après la messe. En mars 2016, avant et pendant la visite du président américain Barack Obama, les autorités cubaines avaient réprimé les mouvement de la société civile, et plus particulièrement le mouvement Damas de Blanco.